Que la machine vive en moi

Entre la performance queer, l’écriture live, l’hacking, l’IA et le transhumanisme, cette performance est un véritable laboratoire à huit mains, où une musicienne, une roboticienne, une écrivaine et une intelligence artificielle tentent de coopérer pour créer un film. 

Laissant une IA écrire le scénario d’un blockbuster plus épique que ceux d’Hollywood, Romane Nicolas et ses “cyborgs transféministes” emmènent le public dans une aventure aussi hilarante que troublante. 

Chaque soir, l’œuvre se réinvente, nourrie par les échanges entre êtres humains et machines. C’est alors que l’improbable se produit : une rencontre entre Barbie, Terminator et Karl Marx, sorties des combinaisons hasardeuses d’une intelligence aussi artificielle que hackée.  

Couverture © Illustration – Que la machine vive en moi, Jérôme Foubert

Production

Voix-performance : Lux 
Régie-vidéo : Arthur Vervier-Dasque 
Administration, production et diffusion : Héloïse Gaubert et Delphine Guérin 
Production : Groupe Scalpel 
Coproduction : Le Théâtre Sorano, Scène conventionnée – Toulouse, Le Tracteur – Cintegabelle en Haute-Garonne 
Résidences et partenaires : Le festival Démostratif, La Chartreuse CNES – Villeneuve lez Avignon, Le Fond Transfem Révolutionnaire, Le Théâtre Jules-Julien – Toulouse, L’Université Toulouse 1 Capitole, Festival Fragments 
Remerciements à Yves Duthen et Paule Géry. 
Une maquette de ce spectacle a été présentée dans le cadre du festival Fragments #12 (La Loge). 
Ce spectacle a reçu le prix Occitanie Livre et Lecture.